Situé dans l’atoll Sud de Malé, aux Maldives, l’hôtel cinq étoiles luxe Cocoa Island by Como vient de signer un partenariat avec la marque de cosmétiques britannique écolo Aethic !
Cocoa Island by Como est l’un des premiers établissements de luxe aux Maldives a collaboré avec une marque de soins solaires écologiques brevetés, qui protègent la faune et la flore sous marine. Les produits, Aethic sont conçus en total respect avec l’écosystème particulièrement sensible des océans. Cocoa Island by Como est une île privée des Maldives. Enveloppée par des kilomètres de plages de sables blancs et des litres d’eaux turquoises, l’hôtel offre un accès privilégié, aux meilleurs sites de plongée du monde. Cocoa Island by Como est situé dans l’atoll Sud de Malé, a seulement 35 minutes en bateau de l’aéroport international de Malé.
Saviez-vous que l’utilisation massive de produits solaires chimiques sont extrêmement néfastes pour les coraux, les moules et le phytoplankton. Chaque année, l’écosystème particulièrement sensible des océans est détruit par les produits chimiques contenus dans la majorité des crèmes solaires.
Quel lien entre nos crèmes solaires et les coraux ? Un lien qui pourrait bien être de cause à effet : pendant que nous bronzons, les coraux blanchissent. Naturellement, la corrélation n’est pas aussi simple. Il n’empêche, les perturbateurs endocriniens contenus dans les crèmes solaires « classiques » s’ajouteraient aux stress subis par les récifs coralliens. Entre 4000 et 6000 tonnes de crèmes solaires seraient chaque année libérées dans les récifs coralliens à travers le monde : à chaque fois que nous nous baignons, nous laissons une part de notre crème solaire dans l’eau.
Pour info en Outre-Mer, existe un organisme chargé de surveiller de près l’impact des produits solaires sur l’écosystème marin. Créé sous l’égide du WWF, le Fonds BIOME – Biodiversité en Outre-Mer – soutient notamment l’étude du lien de cause à effet entre les produits solaires et l’état de santé de l’écosystème récifal de la station balnéaire emblématique de l’Ermitage, à la Réunion. Deux enquêtes menées en 2005 et 2014 ont ainsi montré que la majorité des plagistes ignorent la différence entre les filtres UV chimiques ou minéraux de leur protection solaire, et que 80% d’entre eux se baignent à moins de dix mètres du sable, source de concentration de ces crèmes dans l’eau. Des études pour prouver scientifiquement l’impact de ces crèmes et une information du public sont aujourd’hui nécessaires, telle est la conclusion de la conférence-débat qui s’est déroulée à ce sujet à l’Aquarium de la porte Dorée à Paris, en présence de Jean-Pascal Quod, en charge du résau de surveillance de l’état de santé des récifs coralliens français dans le cadre de l’Ifrecor, l’Initiative Française pour les Récifs Coralliens.
La compagnie Aethic, basée à Londres, a proposé une réponse à ce problème en lançant il y a deux ans dans les grands magasins Selfridges, la crème solaire Sôvée, dans la cadre du “Projet Ocean”. La crème Sôvée a aujourd’hui beaucoup évolué et détient parmi ses références un nouveau brevet en matière de respect de l’environnement. La crème aux trois filtres protecteurs est également certifiée “Marine Positive” – respectueuse de la faune et de la flore marine.
Bien entendu, d’autres marques 100% écologiques et respectant les océans existent aujourd’hui et sont vendus dans les boutiques bio. Difficile pour nous français (à moins de s’expatrier en GB ou de partir en vacances au Cocoa Island by Como ;-)) de trouver les produits solaires Aethic. Cocorico, j’ai déniché une marque française écolo top à la texture délicate, sentant ultra bon et facile à appliquer : Evoa ! Evoa est la première protection solaire certifiée non-toxique pour le milieu marin et en particulier pour le corail !!! Haute protection UVA UVB Sans filtre chimique, sans nanoparticule, sans PEG 100 % Naturel 😉