Cela faisait bien huit ans que je n’étais pas retournée aux Seychelles, lorsque j’ai atterri excitée comme une puce à l’aéroport de Mahé ce 8 juillet 2009…sous une pluie battante !
Quoi de plus normal me concernant, puisque déjà en décembre 2001, c’est sous des trombes d’eaux que j’ai parcouru Mahé, Praslin, la Digue, Silhouette, Denis Island, Desroches…pour ne citer qu’elles. Bon je vous rassure, j’ai tout de même eu droit à quelques très longues minutes d’éclaircies 😉
C’est sûr que comme paysage de carte postale, on a trouvé mieux !
Parce que sincèrement de vous à moi, les Seychelles sous la pluie c’est un peu comme se retrouver aux soldes privées Chanel et faire la queue 2 heures à l’entrée pour s’apercevoir in fine que l’on a oublié son carton d’invitation 🙁
Alors là, vous vous dites…la Val, c’est certain, elle a pèté un câble 🙂
Et bien au risque de vous décevoir, pas du tout…enfin, pas encore. Que je vous explique, le périple : arrivée à Mahé fraîche et dispose après un vol sans encombre (tu m’étonnes, en classe affaire sur Air Seychelles, on peut difficilement mieux faire !), accueil par un représentant de l’office du tourisme des Seychelles, tout sourire (valait mieux vu ma tête quand j’ai vu le déluge) et transfert au port pour prendre le fameux speed boat Cat Coco à destination de Praslin.
Super, le speed boat Cat Coco, un gain de temps formidable (durée de la traversée : 45 mns) pour se rendre sur Praslin avec inclus dans la prestation un peeling au sel de mer fortement recommandé pour raviver les teints les plus ternes au moral en berne 😀
Oui, parce que vous comprendrez que je n’ai pas souhaité m’enfermer à l’intérieur (au demeurant, un très bel espace avec bar, canal vidéo/audio et deux classes : éco et business) vu qu’avec la clim en plus de la pluie, c’est totalement givrée que j’aurais terminée !
Pour vous résumer, c’est donc sous des trombes d’eau que je suis arrivée à ma destination finale ce huit juillet dernier : Le Constance Lemuria Resort, incontestablement le plus bel hôtel de Praslin niché au cœur d’une végétation luxuriante et au cultissime parcours de golf designé par le non moins célèbrissime Rodney Wright.
Oui mais…vu la végétation ambiante, l’humidité ambiante…c’est bien simple, j’avais réellement l’impression d’être au beau milieu de Jurassik Park avec une horde de moustiques transformés en Tyrannosaurus Rex lâchés à mes trousses !!!
Résultat : Mosquitos, 10 points…Val, 50 piqures au bas mot. Bref, une journée des plus normales, comme je les aime.
Cependant, je tiens à vous rassurer, ce n’est pas parce que la météo m’a joué des tours que vous devez vous attendre au même traitement. Que nenni !
A cette époque de l’année soit en juillet, aux Seychelles la mer est agitée certes, le vent est fort (idéal pour le windsurf et le kite mais à déconseiller pour la plongée bouteille) cependant il ne pleut pas ou alors rarement.
La saison des pluies avec alternance de pluies/soleil commence fin novembre, début décembre.
J’ai donc joué de malchance…car je vous le donne en mille…je suis arrivée aux Seychelles au tout début d’une tempête tropicale 😀
La suite….à suivre très prochainement sur Koming Up 😉
Crédit photos : Valérie Outteryck
Veinarde !